Apéro Time


Ce soir c'était à mon tour de faire une surprise à mon Loup. Je lui avais fait un texto dans la soirée pour lui dire que je l'attendais, prête pour un apéro coquin.  J'avais enfilé mon bustier, qui remontait et m'était en valeur ma poitrine, un porte-jarretelles noir, des bas noires ornées de petits nœuds en satin et j'avais fini ma tenue avec des escarpins noirs à très hauts talons. Pour mon Maître j'avais préparé des petits toasts, des biscuits apéritifs et le repas du soir. J'avais déposé sur la table son verre et la bouteille de ce très bon whisky qu'il adore. Attendant sagement sur le canapé, je me repassais le film de la soirée à venir. Je pensais tous les détails pour mettre le feu dans le corps et surtout dans la queue de mon Loup. La porte d'entrée ouverte, une voix me tira de mes rêveries. C'était mon Maître, impatient de me retrouver lui aussi.

La soirée peut enfin commencer. Je tourne autour de lui, pour qu'il puisse renifler mon parfum, toucher mon corps à moitié nu et je l'embrasse à pleine bouche. Je me délecte de se plaisir de le revoir après une journée à l'attendre. Je joue de mes charmes, l'aguiche, le déshabille jusqu'au caleçon et l'entraîne vers le canapé. Assise à califourchon sur ses genoux je l'embrasse de nouveau, le mordille et sens en lui grandir une immense envie. Assise dans l'autre sens, je sers son verre de whisky et je lui tends une bouchée à déguster. Il l'avale en vitesse, l'envie se faisant pressante, je crois qu'il aimerait manger autre chose. Je me lève d'un bon, fais le tour du canapé et chuchote dans le creux de son oreille :

" Chéri, ce soir je vais te laisser profiter tranquillement de ton verre, je dois sortir. A 21h25, connecte toi sur Wyylde et regarde les lives. Tu y trouveras une surprise. "

Interloqué, il s'étouffe presque avec sa gorgée d'alcool. Sans mot dire, il me regarde prendre mes affaires et quitter la maison. Je me demande ce qui est entrain de se passer dans sa tête. S'il est inquiet, excité, surpris ou que sais-je encore. J'arrive au point de rendez-vous, un petit hôtel sympathique et très propre. Mon charmant complice m'attend déjà, il a amené son ordinateur, s'est parfait. Après quelques politesses d'usage, il commence à enlever mes vêtements. Lentement, sensuellement et surtout devant la caméra, il me caresse. J'imagine la réaction de mon Loup, me voyant dans les draps d'un autre, sans s'y attendre. Il doit avoir sa queue raide dans une main et son verre dans l'autre.

Mon complice continue en me masturbant, je gémis, me tortille dans tous les sens, puis saisi son sexe à mon tour. Il est épais et chaud, je sens que je vais me régaler. Je pompe avec envie et frénésie, pendant qu'il me maintient la tête pour que sa queue se loge dans le fond de ma gorge. Il me baise la bouche comme il se doit, tout en profitant de mes fesses en l'air. Il y enfonce un premier, puis un second doigt, pour dilater mon anus. Il prévoit surement de me prendre par là. Je commence déjà à mouiller comme une folle, je suis en transe et demande à mon acolyte :

" Will, baise moi, je t'en supplie, défonce moi, s'il te plaît. Ta queue est tellement bonne. Fais ce que tu veux avec mon corps."

Will ne se fait donc pas prier pour enfiler son sexe nu dans mon cul déjà bien ouvert. Une nouvelle fois je pense à mon Maître qui doit être comme un fou devant son écran d'ordinateur et précise en quelques mots :

" Je me fais baiser sans capote bébé."

Je trempe les draps du lit, lâchant des vagues de mouille chaque fois que je pense à mon homme entrain de se branler pendant que sa femme se fait prendre. Je demande à Will de me parler pendant que je m'empale sur sa queue chaude et dure :

" Tu aimes ça hein, petite salope ! Elle est bonne ma queue, meilleure que celle de ton cocu de mec hein. Tu prends ton pieds en l'imaginant tout seul à la maison pendant que toi tu fais ta trainée ici ..."

Je n'en peux plus, je stoppe mon acolyte afin qu'il reste immobile et je me mets en action, c'est à mon tour de le baiser. Je remue mon cul, faisant des va-et-vient sur son sexe toute mouillée que je suis. Il a l'air d'apprécier,  je l'entends gémir et me dire des obscénités :

"Vas-y bouge ton cul, petite pute, tu aimes ça que je te serve de gode vivant hein. Vas-y déhanche toi comme si c'était la dernière baise de ta vie .."

Je suis encore plus excitée et pense à mon Maître, je me tourne alors fasse à la caméra et écarte mon cul avec mes mains. Laissant ainsi mon Maître constaté devant son écran à quel point il est dilaté. C'est reparti, Will n'aime pas attendre visiblement, il me chuchote dans l'oreille des paroles crues, que je suis censée répéter face à l'objectif. Je m'exécute, avouant que je suis une pute qui cocufier son conjoint devant des centaines de témoins. Disant que la queue de mon amant est la meilleure que je connaisse, lorsque sans prévenir Will s'extrait de mon petit trou devenu grand, pour remplir ma bouche. Il me demande si j'aime l'odeur de mon cul sur sa bite, j'acquiesce ne pouvant émettre le moindre son. J'ai les tétons qui pointent, les poils qui se hérissent et je mouille comme cela ne m'était jamais arrivé. Les draps du lit sont trempés, je baigne dans mon jus. Changement de position et sa queue se retrouve dans ma chatte humide ...  Je gémis, je tire les draps du lit, il est entrain de me défoncer. Sa queue alterne entre ma chatte et mon cul, je n'arrive même plus à situer où il se trouve. Je crois que je ne sais même plus comment je m'appelle. Tout l'hôtel doit m'entendre jouir à ce moment présent, mais je m'en fou complètement. Je suis chienne, le démon a pris possession de mon corps et de mon esprit. Je suis une chose bonne à vider les couilles de mon amant. Il me secoue encore et encore dans tous les sens, puis revient me baiser la bouche. Je ne peux plus respirer, sa grosse queue déforme ma trachée pour aller toujours plus loin. Il jouit dans un râle profond qui provient de ses entrailles, et m'éclabousse le visage. Je suis couverte de sperme et mon fou furieux d'amant prend plaisir à me l'étaler sur la gueule devant la caméra.

" Tu vas bouffer mon foutre petite salope, dit à ton Maître que tu aimes ça, tourne toi vers la caméra et ouvre bien la bouche. Tires la langue petite pute."

Je me tourne vers l'ordinateur avec ma tête de salope en chaleur, ouvre la bouche, tire la langue prête à me faire barbouiller de foutre et à tout avaler. Ce qui ne manque pas d'arriver. Will dit " tu as vu elle aime ça", il s'adresse directement à mon Maître qui doit être fou sur son canapé. J'ai envie de rentrer, de me jeter sur sa queue gonflée de désir, je vais le baiser moi même. Mais Will n'en a pas terminé avec moi, il enfonce une dernière fois ses doigts dans mon cul, sa main en fait je crois et s'active à me faire jouir. Je hurle et dans une secousse qui part du bas de ventre je lâche une vague de mouille qui finie de tremper le lit.

 

Je n'en peux plus, Will non plus ... Il est temps de rentrer à la maison, j'ai encore du sperme sur le visage, je le garde volontairement pour embrasser mon chien-Loup à mon retour. J'avais raison, il m'attend la queue à la main, le diable au corps. Il est fou, il m'attrape, me tire, me jette en avant sur le canapé et arrache ma culotte. Il me baise sans ménagement, partout où il peut enfoncer son sexe. Je me retourne pour l'embrasser à pleine bouche, je lui demande si il sent le goût délicieux du foutre de mon amant sur mes lèvres. Ça l'excite encore plus et il redouble d'effort. Il enroule mes cheveux dans sa main et me tire la tête en arrière pour me faire cambrer. En me pénétrant une dernière, il convulse, grogne et jouit en une giclée spectaculaire sur mes fesses et mon dos.

 

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