La Salle de Bain


Je pouvais l’apercevoir dans l’entrebâillement de la porte. Elle se tenait là, debout face au miroir. Je pouvais voir son corps dans le reflet de la glace, je contemplais sa poitrine avant de la rejoindre. Elle était magnifique, ses cheveux tombaient sur ses épaules et je pouvais apercevoir son dos, sa colonne et enfin ses fesses rondes. Elle portait un shorty en dentelle rouge, qui tenait uniquement grâce à un nœud, que je rêvais de détacher. Rouge, une couleur qui vous inspirait toutes les envies du monde, la passion, le feu qui ruisselait sur ses courbes, une couleur qui lui allait parfaitement au teint. Cette femme était la vénus incarnée. Je me rapprochais  doucement, puis passais mes bras au devant d’elle. Dégageant sa nuque de ses cheveux, j’entrepris de l’embrasser tendrement, je commençais par lui susurrer quelques mots suaves à l’oreille, puis descendit mes lèvres le long de son cou jusqu’à son épaule. Elle avait la peau infiniment douce.

 

Pendant ce temps mes mains ne restèrent pas inactives, elles allèrent se placer sur ses seins, pour les caresser, les peser, les masser. Je faisais rouler ses tétons entre mes doigts et je sentais les frissons que cela déclenchait chez elle. Ma main gauche lâcha à contre cœur ce sein chaud et moelleux pour descendre sur son ventre et le caresser à son tour, tandis que j’embrassais son dos en suivant le trajet de sa colonne et en m’arrêtant sur sa cambrure. Je focalisais mon regard sur le nœud de son sous vêtement, et je n’eu plus qu’une envie, m’en emparer. Je renonçais à ses seins pour descendre ma main en direction de son sexe, je pouvais sentir ses lèvres au travers de la dentelle,  j’en profitais pour la taquiner en jouant du bout de mes doigts sur ce que je sentais être son clitoris. Avec mes dents je décidais de tirer le nœud de son shorty et une vision de paradis s’offrit à mes yeux.

 Ses fesses étaient enfin à moi, je commençais par les embrasser, puis je ne pus m’empêcher de les claquer. Si vous aviez été à ma place, vous auriez sans nul doute craqué. Je me suis donc laissé aller à les mordre, à les lécher et enfin à glisser un doigt dans son sexe humide. Endroit secret, lieu de tous les désirs et de tous les plaisirs. Je me redressais pour la pencher sur le lavabo de la salle de bain en appuyant une main sur son dos. Ainsi, dans le reflet du miroir j’avais une vue plongeante sur ses seins et ses fesses étaient bandées en arrière. Je me plaquais contre elle, plaçant la bosse de mon boxer contre ses fesses. Je n’avais qu’une envie, la pénétrer, maintenant et violemment, la tenir par les cheveux, voir ses seins bouger au rythme de mes coups de rein et jouir en elle. Cependant j’avais tellement faim de son corps que tout cela ne m’aurait pas rassasié. J’avais envie de la faire attendre un peu plus, de faire monter le plaisir doucement, et de la faire languir.

 

J’imprimais néanmoins quelques mouvements contre ses fesses, si rondes et charnues, que c’était impossible pour moi de me retenir. Il fallait que je m’arrête, je luttais contre le désir pour la faire attendre avant de la pénétrer. Je rêvais de me heurter au fond de sa chatte ou de sentir les muscles de ses fesses se resserrer sur moi.

Toujours ainsi penchée, je pouvais accéder facilement à ses fesses, ma langue se fraya un chemin entre elles afin d’atteindre son anus et de le titiller un peu. Tôt ou tard dans la soirée je la pénétrerais par là. Entrant centimètre par centimètre, profitant de la sentir se resserrer autour de moi, augmentant la vitesse petit à petit. Puis un coup violent sans qu’elle ne s’y attende... Un rythme plus soutenu pour plus de plaisir encore. Mais pour l’heure c’était sa chatte et son divin nectar qui me captivaient.

 

Je la retournais brusquement pour la prendre dans mes bras. Je la serrais contre moi, plaquant ses seins contre mon torse. M’emparant de sa bouche et de sa langue je sentais son corps bouillir de désir. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, sachant pertinemment ce que cela impliquerait. Mon érection marquée par la bosse de mon caleçon venait butter contre ses lèvres. La seule chose qui nous empêchait d’aller plus loin à présent c’était ce caleçon. Le contact, même à travers ce tissu, m’électrisait totalement, des frissons parcouraient mon corps. A ce moment là j’avais envie de tout accélérer, d’allonger ma Coquine par terre, du lui faire l’amour violemment et de partager la jouissance avec elle. Il me fallait me ressaisir, je la portais sur le bord du lavabo, assise elle pouvait plus facilement écarter les cuisses.

 

J’entrepris d’embrasser ses jambes du mollet au genou, puis je remontais vers l’intérieur de ses cuisses. Je chatouillais sa peau avec le bout de ma langue, me rapprochant doucement de son entrejambe et de son fruit défendu. C’était un délice, aussi doux qu’un abricot,  elle commençait à mouiller, un vrai bonheur. Tout son corps travaillait à faire monter la chaleur en moi. Je décidais de la lécher, son clitoris, ses lèvres, de la mordiller, découvrant avec ma bouche chaque parcelle de ce délicieux fruit.  Je dégustais ce met et profitais du moment. De ce divin nectar je ne perdrais pas une goutte, j’amenais mes mains au niveau de ses fesses, sa peau était aussi douce que la soie, j’empoignais ce cul, source de tous mes fantasmes. Ce contact associé au plaisir que je donnais actuellement à ma partenaire me rendait fou. Je descendis lentement mes doigts dans son sillon, allant jusqu’à son anus. C’était une manière de lui suggérer la suite des événements. J’avais dans l’idée qu’une fois son sexe et ma langue rassasiés je pourrais aller le taquiner. Ses muscles résistèrent un peu, repoussant l’insertion de mon doigt, mais la cyprine coulait à flot et me facilitait le passage de force. Un soupir de ma Belle, puis des gémissements qui signifiaient qu’elle prenait plaisir. Encore quelques va-et-vient avec la pointe de ma langue sur son clitoris, et elle sentit la jouissance monter en elle, puis jaillir brutalement.

 

C’est à ce moment là que la situation m’échappa, je vis son ventre se soulever, j’entendis sa respiration s’accélérer. Je sentis ses mains se poser sur ma tête, caresser mes cheveux, puis les attraper plus fermement. Une étincelle me traversa, et je me retrouvais en une seconde couché sur le sol. Elle prenait les devants et je me laissais faire. Allongé là, je la contemplais, et m’aperçu qu’elle était encore plus belle une fois satisfaite. Elle s’installa entre mes jambes afin d’avoir accès à tout mon corps. Elle commença par m’embrasser, le cou, le torse, le ventre et attrapa mon caleçon avec les dents. Je lui fis un signe de tête pour qu’elle sache qu’elle pouvait l’enlever, ce qu’elle fit avec joie. Elle posa sa bouche contre ma verge et fit glisser sa langue jusqu’à mon gland. Je pouvais lire dans ses yeux qu’elle avait envie de moi. Elle enfila mon sexe dans sa bouche, l’excitation était trop forte et je ne pu m’empêcher de gémir. Si elle continuait ainsi je ne pourrais pas  m’empêcher de jouir dans sa bouche. Elle était sauvage, mais elle savait parfaitement se servir de ses lèvres, de sa langue et de ses dents pour provoquer des sensations indicibles. Mon corps et mon esprit étaient hors de contrôle, je n’avais plus qu’une idée en tête la pénétrer au plus vite.  Je soulevais mon bassin afin de sentir mon sexe s’enfoncer plus loin dans sa bouche. Ma Coquine savait y faire, elle suçait divinement bien. Le plaisir commençait à m’hypnotiser et j’eu envie de reprendre le dessus. J’attrapais ses cheveux puis descendit une main sur sa nuque que j’enserrais vigoureusement. Je la caressais pour l’apprivoiser, puis au moment où  elle s’y attendait le moins je décidais de maintenir sa tête et de la forcer à descendre plus loin, à accélérer le mouvement. C’était un délice, elle était vraiment douée mais je devais hélas, arrêter là si je voulais la pénétrer.

 

                Ma Perverse me pris de court lorsqu’elle continua de tenir mon sexe entre ses lèvres et qu’elle accéléra  le mouvement. Je senti la chaleur monter en moi et quelques gouttes de sperme sortirent de mon gland. Je retirais mon sexe de sa bouche et lui mis une petite claque. Elle me regarda d’un air coquin et passa sa langue sur ses lèvres comme pour me dire qu’elle s’était régalée. Je la mis à genoux et pris un de ses bas pour lui attacher les mains dans le dos, ainsi elle était à ma merci. Sur les lèvres de sa chatte ouverte, perlaient quelques gouttes de mouille. Un rapide passage de mon doigt m’indiqua que si j’avais voulu la prendre à l’instant même, je n’aurais pas eu de difficulté pour le faire. Je rentrais un, puis deux et trois doigts que je faisais bouger en elle, mais ma Coquine méritait une vraie punition pour avoir voulu me faire jouir sans que je ne lui en donne l’ordre. J’allais chercher son vibromasseur caché dans un tiroir, et je l’allumais en faible vitesse. Je lui donnais à sucer puis l’introduis dans sa chatte trempée. Je me présentais debout devant sa bouche, le sexe raide. Elle comprit ce qu’elle devait faire mais n’avança pas, elle me provoquait.  J’attrapais ses cheveux pour la guider.

 

            Malgré sa soumission, elle exerçait un pouvoir sur moi, un pouvoir attractif. Je ne pouvais m’empêcher de me noyer dans son regard, d’où émanaient toutes ses plus profondes émotions. Voilà ma faiblesse, l’étincelle de son regard. Je me redressais, l’embrassais fougueusement, la serrant contre moi et caressant son dos. J’étais fou, fou amoureux de cette femme, je la désirais plus que tout au monde.

 

Je l’allongeais doucement sur le sol, l’embrassant, et frottant mon sexe contre le sien. Je le passais entre ses lèvres sans la pénétrer. Je l’embrassais une nouvelle fois, puis m’introduit lentement en elle. Je sentais cette chaleur m’envahir, comme un cocon qu’on n’aurait jamais envie de quitter. N’allant pas trop vite je profitais de chaque instant où je prenais enfin possession de son corps. Lorsque je buttais au fond d’elle, elle soupira légèrement. Je m’allongeais alors sur elle pour sentir le contact de sa peau contre la mienne, j’entamais un mouvement de va et vient accentuant chaque geste un peu plus. Mon cœur battait plus fort, sa respiration s’accélérait. Je décidais de prendre un autre rythme, j’accélérais doucement, puis sans la prévenir mes coups de rein devinrent rapides et puissants. Son soupir se transforma en gémissement. Je l’embrassais, lui murmurant des mots sensuels à l’oreille. Elle aimait sentir mon souffle chaud dans le creux de son oreille. J’en profitais au passage pour mordiller son lobe et la sentir frissonner.

 

            Je voulais la voir sur moi, me sentir dominé, voir son désir éclater. Je m’allongeais sur elle de tout mon poids, saisis ses fesses et l’entourant de mes bras je la fis basculer sur le côté pour que nos positions s’inversent. Elle me regardait dans les yeux avec cet air coquin que j’aimais tant. Elle mit ses mains sur mon torse pour prendre appui, et  commença à onduler légèrement le bassin. Ma Belle Amazone se laissait vite distraire par le plaisir alors je décidais d’agir. Je plaçais mes mains sur son ventre, le caressant, glissant sur ses hanches pour imprimer le rythme que je souhaitais pour son bassin.

 

            Les positions s’enchaînaient entre nous. Elle ne pouvait bientôt plus se retenir de crier cette lascivité qu’elle ressentait. L’entendre gémir me faisait perdre le contrôle, la fougue s’emparait de moi et je n’avais plus qu’un seul but : la faire jouir. Elle planta ses ongles dans mon dos tandis que je lui mordais le cou. Je sentais tous ses muscles se contracter autour de moi. Le plaisir monta en moi puis traversa mon sexe pour jaillir vers ma partenaire. Encore quelques mouvements et la volupté nous envahie tous deux. Nous émîmes, en parfait synchronisme, un gémissement significatif de la fin du jeu. Je caressais son corps, je ne voulais plus la lâcher. Je l’enserrais contre moi comme pour que mon amour la traverse, et elle me susurrait à l’oreille un « je t’aime » qui m’emplissait de bonheur.

            Je pris ma Douce par la main, et nous nous glissâmes sous un jet d’eau froide. Cela permis à nos corps bouillonnants, de se refroidir un instant. Sous la vision de son corps plein de mousse, de ses mains qui s’y frottent, mon esprit s’échauffe de nouveau …

 

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